المدير العام مدير المنتدى
البلد : الجنس : عدد المساهمات : 281 نقاط : 117807 السٌّمعَة : 0 تاريخ الميلاد : 28/08/1984 تاريخ التسجيل : 11/04/2011 العمر : 39 الموقع : http://wwwarabic4you.rigala.net
| موضوع: les Textes naratif الإثنين أكتوبر 03, 2011 1:28 pm | |
| Texte narratif
Texte :1
Levez-vous, dit le professeur. Il se lave, sa casquette tomba, Toute la classe se mit à rire. Il se baissa pour la reprendre .Un
voisin la fit tomba d’un coup de coude, il la ramasse encore une fois. - Débarrassez-vous donc de votre casque, dit le professeur qui était un homme d’esprit. Il y eut un rire éclatant des écoliers qui décontenança le pauvre garçon, si bien qu’il ne savait s’il fallait garder sa casquette à la main, la laisser par terre ou la mettre sur sa
tête. Il se rassit et la posa sur ses genoux.
texte :2
J'étais enfant et je jouais près de la case de mon père .Je devais être très jeune encore : cinq ans , six ans peut-être. Ma mère était dans l'atelier, près de mon père, et leur voix me parvenait rassurante, tranquille, mêlée à celles des clients de la forge et au bruit de l'enclume. Brusquement, j'interrompis de jouer, l'attention, toute mon attention, fut captée par un serpent qui rampait autour de la case, je m'approchai bientôt. Je ramassai un roseau qui traînait dans la cour et, à présent, j'enfonçai ce roseau dans la gueule de la bête. Le serpent ne se dérobait pas : il prenait goût au jeu : il avala le roseau, il l'avala comme une proie. Il vint un moment où le roseau se trouva à peu près englouti, et où la gueule du reptile se trouva terriblement proche de mes doigts. Je riais, je n'avais pas peur du tout, et je crois bien que le serpent n'eût plus beaucoup tardé à m'enfoncer ses crochets dans les doigts si, à l'instant, Damany, l'un des apprentis ne fût sorti de l'atelier. L'apprenti fit signe à mon père, et presque aussitôt je me sentis soulevé de terre : j'étais dans les bras d'un des amis de mon père. Un peu plus tard, j'entendis ma mère m'avertir sévèrement de ne plus jamais recommencer un tel jeu. Texte:3 Monsieur Sorel appela Julien deux ou trois fois. L'attention que le jeune homme donnait à son livre plus que le bruit de la scie, l'empêcha d'entendre la terrible voix de son père, malgré son âge, celui-ci sauta lestement sur l'arbre et de là sur la poutre. Un coup violent fit voler dans le ruisseau le livre que tenait Julien, un second coup aussi violent donné sur la tête, lui fit perdre l'équilibre. Il allait tomber, mais son n père le retint de la main. (Stendhal)Texte:4 [b][color=black] Etant arrivé à la porte du cabinet, elle s'y arrêta quelque temps. Elle prit la clef, et ouvrit en tremblant la porte du cabinet. D'abord, elle ne vit rien parce que les fenêtres étaient fermées; après quelques moments, elle commença à voir que le plancher était tout couvert de sang caillé. (Charles Perrault[/color[/b ]]) | |
|